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La photo de gauche a été prise par le journaliste de l’Avenir le 15 juillet 2021 sur le pont de la rue de la Barre, vers l’amont. Elle nous montre une rivière qui semble presque à l’arrêt. Ce n’est pas vraiment le cas, car de l’eau s’évacue bien sous nos yeux. La vitesse d’écoulement peut être différente selon les couches de l’eau. Mais en surface, on « sent » que le courant est faible, que la rivière est presque « à l’arrêt ». Elle est, en tout cas, partiellement bloquée. La cause n’est pas le pont lui-même. La cause est en aval du pont, à un endroit où la capacité de débit ne suffit pas pour la quantité d’eau qui se présente au même moment… (Sous la Maison de la Ruralité, sous le parking) Cette « surcharge » est reportée évidemment, en amont. Là où l’eau trouve une issue, et déborde…

Bien sur, les volumes d'eau communicants ont en principe le même niveau. Mais la théorie des vases communicants est valable pour une eau au repos. C'est loin d'être le cas ici. De l'eau arrive continuellement de l'amont, et s'écoule continuellement de l'aval, et ceci en quantités variables. Les volumes, mêmes connectés, n'arrivent pas nécessairement au même niveau.

De plus, ces photos sont prises à des moments différents. Par exemple, j'ai reçu une photo où la voiture de droite a de l'eau jusqu'au dessus de la roue... Le même lieu, mais pas le même moment...

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