
Des rétrécissements successifs
Actuellement, la seule grille de lecture qui permette de comparer les capacités de débit des étranglements successifs entre le pont de la rue de la Barre et le pont de la chaussée de Jodoigne, sont la « section » d’un endroit de la rivière, c’est-à-dire la surface théorique libre perpendiculaire au passage de l’eau.
Calculer le débit est complexe, selon les hydrologues. Il faut procéder à des mesures précises du fond du cours d’eau, connaître la rugosité des berges et bien entendu, la vitesse de l’eau, qui varie… Pour calculer les débits, même théoriques, d’une telle section de rivière, il faut construire physiquement, une maquette qui reprend toutes les caractéristiques du cours d’eau, parait il. Un beau travail de fin d’études (une idée, comme ça).
Restons-en donc à une compréhension basique. Sans pouvoir chiffrer précisément les débits tolérés par ces étranglements, reconnaissons en tout cas que ces étranglements sont peu contestables…
Plan de la Démo
1. Introduction : posons le problème (1 – 11) – La video : Grez, 15 juillet 2021 (6)
2. Grez : du confluent du Train avec le Piétrebais jusqu’à la Chée de Jodoigne (12 – 17)
3. Episode du 14-11-2024 : Report du niveau de l’inondation de juillet 2021 (26 – 33)
4. Résumé du goulet rue de la Barre – Chée de Jodoigne (34 – 35)
5. Grez : Chée de Jodoigne – rue du Lambais – Archennes (36-43)