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Des rétrécissements successifs

Actuellement, la seule grille de lecture qui permette de comparer les capacités de débit des étranglements successifs entre le pont de la rue de la Barre et le pont de la chaussée de Jodoigne, sont la « section » d’un endroit de la rivière, c’est-à-dire la surface théorique libre perpendiculaire au passage de l’eau.

Calculer le débit est complexe, selon les hydrologues. Il faut procéder à des mesures précises du fond du cours d’eau, connaître la rugosité des berges et bien entendu, la vitesse de l’eau, qui varie… Pour calculer les débits, même théoriques, d’une telle section de rivière, il faut construire physiquement, une maquette qui reprend toutes les caractéristiques du cours d’eau, parait il. Un beau travail de fin d’études (une idée, comme ça).

Restons-en donc à une compréhension basique. Sans pouvoir chiffrer précisément les débits tolérés par ces étranglements, reconnaissons en tout cas que ces étranglements sont peu contestables…

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