Durant une promenade le long du Train, on verra très régulièrement des étranglements variés sur la rivière.

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Voici par exemple la passerelle qui permet de rejoindre à pied la rue du Lambais et la rue du Stampia en traversant le Train. Vous voyez bien qu’en aval de la passerelle, la largeur des berges se réduit. Cet étranglement est peut-être compensé par la hauteur des berges, mais est tout de même un frein à l'évacuation de l'eau.

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Autre problème : le placement de conduites sous la passerelle (désolé pour la photo en contre-jour). Incontestablement, ces conduites réduisent le passage accordé au cours d’eau. Il faut changer de logiciel et donner la priorité au passage dont la rivière a besoin en cas de crue. Et trouver une solution compatible avec cette priorité pour faire passer les conduites. (Un autre pont, qui n'est pas repris dans notre parcours, présente le même problème : c'est le pont de la rue Jean-François Leblicq, juste en amont du confluent Train-Piétrebais.)

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Et il y a encore un autre problème : il n’y a pas de chemin le long du Train jusqu’à la rue du Lambais, la rivière étant bordée sur ses deux rives par les jardins. Dès lors, pas d’accès pour surveiller la rivière et entretenir les berges. Une situation qui devrait pouvoir évoluer.

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Je n’ai pas fait la liste exhaustive des rétrécissements de la rivière, d’ailleurs certains passages comme dit plus haut, sont tout simplement inaccessibles. Le but de cette présentation est en effet d’attirer l’attention des Décideurs de notre commune sur la nécessité d’entretenir le cours du Train dans Grez, et de convenir d’une largeur minimum pour la rivière, à entretenir régulièrement, les ponts étant en principe respectés (sauf celui de la chaussée de Jodoigne, chacun l’aura compris).

Aligner la largeur du cours du Train sur celle des ponts historiques semble de prime abord une mesure de bon sens… Mais cette proposition doit bien entendu être validée.