Un diagnostic de la cause des inondations à Grez a-t-il été effectué avant de désigner la ZEC à Cocrou comme étant la solution à mettre en œuvre ? Ce serait intéressant de le retrouver*. Par contre, plusieurs études ont été effectuées pour justifier et dimensionner la ZEC de Cocrou. (D’autres sites ont été étudiés à la demande des habitants mais le choix du site de "Cocrou amont" est confirmé.) Certaines de ces études, (re)présentées en 2024, datent d'avant 2021*...

* NB: il m'a été impossible de vérifier absolument l'exactitude de cette information, et je la corrigerai aussitôt qu'une information officielle me sera transmise concernant : le diagnostic des inondations à Grez (difficile d'être sûr qu'il n'existe pas) et la période durant laquelle les études transmises dans le cadre de l'enquête publique sur la ZEC ont été réalisées (2017, 2018, 2024).

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Le cadre décrété par le demandeur d’ordre stipule que c’est le confluent du Train et du Piétrebais (juste en amont du village de Grez, av. Comte Jean Dumonceau) qui est défini comme le point de débit à prendre en compte dans les études. Par exemple, le "débit cumulé à l'entrée de Grez-Doiceau" reprend la somme des débits des affluents amont.

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Comme écrit plus haut (Dia 3), ce choix est cohérent avec la philosophie recommandée en Région wallonne (*) de privilégier la rétention des eaux en amont des zones à protéger. C’est logique, moins cher, cela facilite la pénétration de l’eau dans les sols, cela ralentit les crues et dans l’ensemble ce choix de principe semble opportun pour réduire le risque d’inondation en aval.

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(*) Référentiel - Gestion durable des eaux pluviales, p. 14 : Principe 1: Retenir et Infiltrer les eaux de pluies afin de limiter la production de ruissellement.

 

Cependant, est-ce pour cela qu’il faut adopter cette priorité à défaut de toute autre réflexion ? Cette priorité est-elle exclusive ?  Doit-on fermer les yeux sur ce qui se passe quelques dizaines de mètres plus bas dans le cours du Train ? Qu'en est-il des rétrécissements dans le cours du Train ? N'ont-ils pas un impact sur le débit du Train dans Grez ?

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​En s’orientant délibérément sur l’amont de Grez et en se limitant au principe de la rétention des eaux en amont, ne s’est-on pas volontairement épargné de questionner les rétrécissements imposés à la rivière dans le cœur de la localité, rétrécissements provoqués par des décisions urbanistiques hasardeuses ou par un entretien inexistant des berges du Train dans Grez ?

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Quand on se concentre sur quelque chose, il arrive souvent qu'on ne voie plus ce qui se passe autour... Par exemple, quand on utilise son téléphone portable au volant, on ne voit tout simplement plus la route, car notre cerveau est accaparé par une tâche qui le mobilise. On appelle ça la « cécité d’inattention ». Faites le « Test d’attention » des psychologues américains Simons et Chabris, créé dans les années 1990. C’est décapant !​

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